Saga fleuve (pléonasme ? non !), dont je reconnais ne pas avoir lu les 98 épisodes, mais qui vaut le détour même si vous calez à un moment donné (on ne vous en voudra pas !) Une fresque épique et pittoresque dans un monde post apocalyptique plongé dans un grand froid et où seuls les trains roulent (« le mouvement c’est la vie »). A partir de là, l’imaginaire d’Arnaud n’a plus eu de limite…
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